Histoires de plumes anciennes
En France, entre 1846 et 1957, une centaine de fabricants réalisèrent environ 5000 modèles de plumes. Baignol et Farjon, J-B Mallat, Blanzy-Pourre furent les plus importants.
L'industrie française de la plume métallique s'est développée à Boulogne-sur-Mer, en 1846 grâce à Pierre Blanzy et Eugène Poure et en 1856 avec François Lebeau. Ce sont les deux gendres de ce dernier Camille Baignol et Ferdinand Farjon qui prendront sa suite avec l'entreprise BAIGNOL & FARJON.
12 étapes sont nécessaires pour la fabrication des plumes en acier : découpage, perçage, marquage, recuit, estampage, formage, trempe et recuit, nettoyage, aiguisage, découpe, polissage, vernissage.
Voici ci-après quelques histoires de ces fameuses plumes.
La plume Sergent-Major est la plus connue pour l'écriture et le dessin. Inventée en 1881, elle est utilisée dans les écoles françaises pour l'apprentissage de l'écriture à la fin du XIXe siècle et jusqu'aux années 1970. |
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La plume de portée pour tracer les cinq lignes d'une portée musicale. |
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La plume Tour Eiffel est une plume de collection permettant d'écrire assez fin. |
La plume Pinocchio est une plume originale de l'époque notamment de part sa forme. |
La plume Index est une plume rigide en forme de main. Elle présente une pointe mi-fine et une réserve d'encre. |
La plume Henry pour l'écriture écolière très souple. |
La plume Cigogne est également une plume originale de l'époque. |
La plume Copyright pour la polycopie au papier carbone.
La plume Gauloise ou départementale pour l'écriture écolière. Et bien d'autres ....